domingo, 7 de agosto de 2011

La comuna de París

10 comentarios:

  1. Mucho laburo. Desgraciadamente, debo admitir que no conozco casi nada de la Comuna como para apreciar las alusiones (excepto por la desgraciada vida familiar del viejo Karl). Tendré que ponerme a estudiar, nomás.

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  2. ademas de ligeti, quien te cae bien galliano?? jaja

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  3. Casi todas las personas y personajes que aparecen en este blog me caen bien, de lo contrario, ni me molesto en dibujarlos.

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  4. me vas a decir que te caen bien Pigna o Pergolini? no eh, no mientas, Galliano! (?)

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  5. Che, a que se debe tu hostilidad de con el viejo altamira? Por que lo ridiculizas de esa manera?
    Me intriga saberlo nomas, no te estoy bardeando.
    Salvo eso, EXCELENTE TU BLOG!!
    Facundo

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  6. Muy buena, pero un verdadero bajón tener que salir a dar explicaciones por una tira humorística.
    Suri.

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  7. Sauf des mouchards et des gendarmes,
    On ne voit plus par les chemins,
    Que des vieillards tristes en larmes,
    Des veuves et des orphelins.
    Paris suinte la misère,
    Les heureux mêmes sont tremblants.
    La mode est aux conseils de guerre,
    Et les pavés sont tous sanglants.

    Refrain :

    Oui mais !
    Ça branle dans le manche,
    Les mauvais jours finiront.
    Et gare ! à la revanche
    Quand tous les pauvres s’y mettront.
    Quand tous les pauvres s’y mettront.



    Les journaux de l’ex-préfecture
    Les flibustiers, les gens tarés,
    Les parvenus par l’aventure,
    Les complaisants, les décorés
    Gens de Bourse et de coin de rues,
    Amants de filles au rebut,
    Grouillent comme un tas de verrues,
    Sur les cadavres des vaincus.

    Refrain




    On traque, on enchaîne, on fusille
    Tout ceux qu’on ramasse au hasard.
    La mère à côté de sa fille,
    L’enfant dans les bras du vieillard.
    Les châtiments du drapeau rouge
    Sont remplacés par la terreur
    De tous les chenapans de bouges,
    Valets de rois et d’empereurs.

    Refrain




    Nous voilà rendus aux jésuites
    Aux Mac-Mahon, aux Dupanloup.
    Il va pleuvoir des eaux bénites,
    Les troncs vont faire un argent fou.
    Dès demain, en réjouissance
    Et Saint-Eustache et l’Opéra
    Vont se refaire concurrence,
    Et le bagne se peuplera.

    Refrain




    Demain les manons, les lorettes
    Et les dames des beaux faubourgs
    Porteront sur leurs collerettes
    Des chassepots et des tambours
    On mettra tout au tricolore,
    Les plats du jour et les rubans,
    Pendant que le héros Pandore
    Fera fusiller nos enfants.

    Refrain




    Demain les gens de la police
    Refleuriront sur le trottoir,
    Fiers de leurs états de service,
    Et le pistolet en sautoir.
    Sans pain, sans travail et sans armes,
    Nous allons être gouvernés
    Par des mouchards et des gendarmes,
    Des sabre-peuple et des curés.

    Refrain




    Le peuple au collier de misère
    Sera-t-il donc toujours rivé ?
    Jusques à quand les gens de guerre
    Tiendront-ils le haut du pavé ?
    Jusques à quand la Sainte Clique
    Nous croira-t-elle un vil bétail ?
    À quand enfin la République
    De la Justice et du Travail ?

    Refrain

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  8. Estoy leyendo conversaciones con Marx y Engels de Hans Magnus Ensenzberger y, si las anecdotas que el tipo cuenta son ciertas, las teorias del viejo Karl son un destilado casi quimicamente puro de su propio resentimiento... un viejo choto, genial eso si, pero viejo choto al fin.

    Dentro de 50 años se abren los archivos de Rusia donde estan guardados los manuscritos ineditos de Marx y ahi se van a ver los pingos... dicen las malas lenguas que se desdice de casi todo lo que habia escrito en Kapital... qui lo sa...

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  9. compañero ese señor estuvo en las Juventudes Hitlerianas, yo desconfiaría del autor...

    todo lo que hay en el blog es muy bueno!

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  10. Cohen, ¡genio! vos corrés con una ventaja: a vos nunca te van a matar.

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