Mucho laburo. Desgraciadamente, debo admitir que no conozco casi nada de la Comuna como para apreciar las alusiones (excepto por la desgraciada vida familiar del viejo Karl). Tendré que ponerme a estudiar, nomás.
Che, a que se debe tu hostilidad de con el viejo altamira? Por que lo ridiculizas de esa manera? Me intriga saberlo nomas, no te estoy bardeando. Salvo eso, EXCELENTE TU BLOG!! Facundo
Sauf des mouchards et des gendarmes, On ne voit plus par les chemins, Que des vieillards tristes en larmes, Des veuves et des orphelins. Paris suinte la misère, Les heureux mêmes sont tremblants. La mode est aux conseils de guerre, Et les pavés sont tous sanglants.
Refrain :
Oui mais ! Ça branle dans le manche, Les mauvais jours finiront. Et gare ! à la revanche Quand tous les pauvres s’y mettront. Quand tous les pauvres s’y mettront.
Les journaux de l’ex-préfecture Les flibustiers, les gens tarés, Les parvenus par l’aventure, Les complaisants, les décorés Gens de Bourse et de coin de rues, Amants de filles au rebut, Grouillent comme un tas de verrues, Sur les cadavres des vaincus.
Refrain
On traque, on enchaîne, on fusille Tout ceux qu’on ramasse au hasard. La mère à côté de sa fille, L’enfant dans les bras du vieillard. Les châtiments du drapeau rouge Sont remplacés par la terreur De tous les chenapans de bouges, Valets de rois et d’empereurs.
Refrain
Nous voilà rendus aux jésuites Aux Mac-Mahon, aux Dupanloup. Il va pleuvoir des eaux bénites, Les troncs vont faire un argent fou. Dès demain, en réjouissance Et Saint-Eustache et l’Opéra Vont se refaire concurrence, Et le bagne se peuplera.
Refrain
Demain les manons, les lorettes Et les dames des beaux faubourgs Porteront sur leurs collerettes Des chassepots et des tambours On mettra tout au tricolore, Les plats du jour et les rubans, Pendant que le héros Pandore Fera fusiller nos enfants.
Refrain
Demain les gens de la police Refleuriront sur le trottoir, Fiers de leurs états de service, Et le pistolet en sautoir. Sans pain, sans travail et sans armes, Nous allons être gouvernés Par des mouchards et des gendarmes, Des sabre-peuple et des curés.
Refrain
Le peuple au collier de misère Sera-t-il donc toujours rivé ? Jusques à quand les gens de guerre Tiendront-ils le haut du pavé ? Jusques à quand la Sainte Clique Nous croira-t-elle un vil bétail ? À quand enfin la République De la Justice et du Travail ?
Estoy leyendo conversaciones con Marx y Engels de Hans Magnus Ensenzberger y, si las anecdotas que el tipo cuenta son ciertas, las teorias del viejo Karl son un destilado casi quimicamente puro de su propio resentimiento... un viejo choto, genial eso si, pero viejo choto al fin.
Dentro de 50 años se abren los archivos de Rusia donde estan guardados los manuscritos ineditos de Marx y ahi se van a ver los pingos... dicen las malas lenguas que se desdice de casi todo lo que habia escrito en Kapital... qui lo sa...
Mucho laburo. Desgraciadamente, debo admitir que no conozco casi nada de la Comuna como para apreciar las alusiones (excepto por la desgraciada vida familiar del viejo Karl). Tendré que ponerme a estudiar, nomás.
ResponderEliminarademas de ligeti, quien te cae bien galliano?? jaja
ResponderEliminarCasi todas las personas y personajes que aparecen en este blog me caen bien, de lo contrario, ni me molesto en dibujarlos.
ResponderEliminarme vas a decir que te caen bien Pigna o Pergolini? no eh, no mientas, Galliano! (?)
ResponderEliminarChe, a que se debe tu hostilidad de con el viejo altamira? Por que lo ridiculizas de esa manera?
ResponderEliminarMe intriga saberlo nomas, no te estoy bardeando.
Salvo eso, EXCELENTE TU BLOG!!
Facundo
Muy buena, pero un verdadero bajón tener que salir a dar explicaciones por una tira humorística.
ResponderEliminarSuri.
Sauf des mouchards et des gendarmes,
ResponderEliminarOn ne voit plus par les chemins,
Que des vieillards tristes en larmes,
Des veuves et des orphelins.
Paris suinte la misère,
Les heureux mêmes sont tremblants.
La mode est aux conseils de guerre,
Et les pavés sont tous sanglants.
Refrain :
Oui mais !
Ça branle dans le manche,
Les mauvais jours finiront.
Et gare ! à la revanche
Quand tous les pauvres s’y mettront.
Quand tous les pauvres s’y mettront.
Les journaux de l’ex-préfecture
Les flibustiers, les gens tarés,
Les parvenus par l’aventure,
Les complaisants, les décorés
Gens de Bourse et de coin de rues,
Amants de filles au rebut,
Grouillent comme un tas de verrues,
Sur les cadavres des vaincus.
Refrain
On traque, on enchaîne, on fusille
Tout ceux qu’on ramasse au hasard.
La mère à côté de sa fille,
L’enfant dans les bras du vieillard.
Les châtiments du drapeau rouge
Sont remplacés par la terreur
De tous les chenapans de bouges,
Valets de rois et d’empereurs.
Refrain
Nous voilà rendus aux jésuites
Aux Mac-Mahon, aux Dupanloup.
Il va pleuvoir des eaux bénites,
Les troncs vont faire un argent fou.
Dès demain, en réjouissance
Et Saint-Eustache et l’Opéra
Vont se refaire concurrence,
Et le bagne se peuplera.
Refrain
Demain les manons, les lorettes
Et les dames des beaux faubourgs
Porteront sur leurs collerettes
Des chassepots et des tambours
On mettra tout au tricolore,
Les plats du jour et les rubans,
Pendant que le héros Pandore
Fera fusiller nos enfants.
Refrain
Demain les gens de la police
Refleuriront sur le trottoir,
Fiers de leurs états de service,
Et le pistolet en sautoir.
Sans pain, sans travail et sans armes,
Nous allons être gouvernés
Par des mouchards et des gendarmes,
Des sabre-peuple et des curés.
Refrain
Le peuple au collier de misère
Sera-t-il donc toujours rivé ?
Jusques à quand les gens de guerre
Tiendront-ils le haut du pavé ?
Jusques à quand la Sainte Clique
Nous croira-t-elle un vil bétail ?
À quand enfin la République
De la Justice et du Travail ?
Refrain
Estoy leyendo conversaciones con Marx y Engels de Hans Magnus Ensenzberger y, si las anecdotas que el tipo cuenta son ciertas, las teorias del viejo Karl son un destilado casi quimicamente puro de su propio resentimiento... un viejo choto, genial eso si, pero viejo choto al fin.
ResponderEliminarDentro de 50 años se abren los archivos de Rusia donde estan guardados los manuscritos ineditos de Marx y ahi se van a ver los pingos... dicen las malas lenguas que se desdice de casi todo lo que habia escrito en Kapital... qui lo sa...
compañero ese señor estuvo en las Juventudes Hitlerianas, yo desconfiaría del autor...
ResponderEliminartodo lo que hay en el blog es muy bueno!
Cohen, ¡genio! vos corrés con una ventaja: a vos nunca te van a matar.
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